Diffusé auprès de 1 120 médecins, le questionnaire a été complété par plus de 30% des personnes sollicitées. Les répondants étaient plus jeunes et comportaient plus de femmes que la population médicale Iséroise (âge moyen 47,8 vs 52,2 ; 58,6% de femmes vs 52%). Plus de 9 médecins sur 10 estimaient avoir de bonnes connaissances sur le dépistage. Le taux moyen de bonnes réponses aux questions pratiques de ceux-ci n’était cependant que de 60% (14 à 99% selon les questions). Ils estimaient avoir un bon pouvoir de conviction (> 83%) et déclaraient parler spontanément du test avec leur patient (90%). Tous n’étaient pas encore convaincus de la meilleure sensibilité du test immunologique (77%). Par ailleurs 40% des médecins seraient favorables à l’extension de délivrance du kit par d’autres professionnels de santé.
Diffusé auprès de 1 120 médecins, le questionnaire a été complété par plus de 30% des personnes sollicitées. Les répondants étaient plus jeunes et comportaient plus de femmes que la population médicale Iséroise (âge moyen 47,8 vs 52,2 ; 58,6% de femmes vs 52%). Plus de 9 médecins sur 10 estimaient avoir de bonnes connaissances sur le dépistage. Le taux moyen de bonnes réponses aux questions pratiques de ceux-ci n’était cependant que de 60% (14 à 99% selon les questions). Ils estimaient avoir un bon pouvoir de conviction (> 83%) et déclaraient parler spontanément du test avec leur patient (90%). Tous n’étaient pas encore convaincus de la meilleure sensibilité du test immunologique (77%). Par ailleurs 40% des médecins seraient favorables à l’extension de délivrance du kit par d’autres professionnels de santé.
Diffusé auprès de 1 120 médecins, le questionnaire a été complété par plus de 30% des personnes sollicitées. Les répondants étaient plus jeunes et comportaient plus de femmes que la population médicale Iséroise (âge moyen 47,8 vs 52,2 ; 58,6% de femmes vs 52%). Plus de 9 médecins sur 10 estimaient avoir de bonnes connaissances sur le dépistage. Le taux moyen de bonnes réponses aux questions pratiques de ceux-ci n’était cependant que de 60% (14 à 99% selon les questions). Ils estimaient avoir un bon pouvoir de conviction (> 83%) et déclaraient parler spontanément du test avec leur patient (90%). Tous n’étaient pas encore convaincus de la meilleure sensibilité du test immunologique (77%). Par ailleurs 40% des médecins seraient favorables à l’extension de délivrance du kit par d’autres professionnels de santé.
Diffusé auprès de 1 120 médecins, le questionnaire a été complété par plus de 30% des personnes sollicitées. Les répondants étaient plus jeunes et comportaient plus de femmes que la population médicale Iséroise (âge moyen 47,8 vs 52,2 ; 58,6% de femmes vs 52%). Plus de 9 médecins sur 10 estimaient avoir de bonnes connaissances sur le dépistage. Le taux moyen de bonnes réponses aux questions pratiques de ceux-ci n’était cependant que de 60% (14 à 99% selon les questions). Ils estimaient avoir un bon pouvoir de conviction (> 83%) et déclaraient parler spontanément du test avec leur patient (90%). Tous n’étaient pas encore convaincus de la meilleure sensibilité du test immunologique (77%). Par ailleurs 40% des médecins seraient favorables à l’extension de délivrance du kit par d’autres professionnels de santé.
Diffusé auprès de 1 120 médecins, le questionnaire a été complété par plus de 30% des personnes sollicitées. Les répondants étaient plus jeunes et comportaient plus de femmes que la population médicale Iséroise (âge moyen 47,8 vs 52,2 ; 58,6% de femmes vs 52%). Plus de 9 médecins sur 10 estimaient avoir de bonnes connaissances sur le dépistage. Le taux moyen de bonnes réponses aux questions pratiques de ceux-ci n’était cependant que de 60% (14 à 99% selon les questions). Ils estimaient avoir un bon pouvoir de conviction (> 83%) et déclaraient parler spontanément du test avec leur patient (90%). Tous n’étaient pas encore convaincus de la meilleure sensibilité du test immunologique (77%). Par ailleurs 40% des médecins seraient favorables à l’extension de délivrance du kit par d’autres professionnels de santé.
Diffusé auprès de 1 120 médecins, le questionnaire a été complété par plus de 30% des personnes sollicitées. Les répondants étaient plus jeunes et comportaient plus de femmes que la population médicale Iséroise (âge moyen 47,8 vs 52,2 ; 58,6% de femmes vs 52%). Plus de 9 médecins sur 10 estimaient avoir de bonnes connaissances sur le dépistage. Le taux moyen de bonnes réponses aux questions pratiques de ceux-ci n’était cependant que de 60% (14 à 99% selon les questions). Ils estimaient avoir un bon pouvoir de conviction (> 83%) et déclaraient parler spontanément du test avec leur patient (90%). Tous n’étaient pas encore convaincus de la meilleure sensibilité du test immunologique (77%). Par ailleurs 40% des médecins seraient favorables à l’extension de délivrance du kit par d’autres professionnels de santé.